menu

À propos du jeu

Tractage aux portes 2: Mob à la cafétéria est un jeu développé par François Desroches, dans le cadre du cours Assemblage de Jeux en Techniques d’Intégration Multimédia au Collège de Maisonneuve. Différents défis ont dû être surmontés lors de la création de ce jeu:

  • Utiliser des logiciels gratuits, ou dont une licence était déjà possédée.
  • Fabriquer et enregistrer les ressources nécessaires au développement du jeu, et lorsque ce n’était pas possible, n’utiliser que des ressources libres de droits.

Mob à la cafétéria a largement dépassé de par son ampleur le cadre du cours Assemblage de Jeux, et a continué à être développé après la fin de ce dernier.

Questions et réponses

Pourquoi ce jeu existe-t-il?

Pourquoi pas?

Plus sérieusement, Tractage aux Portes: Le Jeu Vidéo a marqué l’imaginaire militant étudiant. Au cours des mois qui ont suivi sa diffusion initiale, une pluie de commentaires et suggestions a été reçue pour améliorer ce jeu. Lorsqu’est venu le temps de développer un nouveau jeu, il a été décidé de prendre toutes ces suggestions, sans exception, et les utiliser comme base pour un nouveau jeu, et d’aller plus loin encore.

Est-ce que ce jeu comporte des formules de “loot boxes”?

Vous voulez dire des ballots d’Ultimatums? Non, malheureusement, les Ultimatums et les Argumentaires ne feront pas leur réapparition dans Mob à la Cafétéria.

Est-ce que c’est un simulateur de mobilisation?

Le terme “Jeu de rôle non linéaire en monde ouvert” est préféré, où le joueur ou la joueuse incarne la même mobbeuse que lors de Tractage aux portes: Le jeu vidéo, et où le monde ouvert est de la taille d’une petite cafétéria. Il ou elle peut décider d’aller mobiliser les tables de son choix, dans l’ordre de son choix.

Ça doit être rapidement répétitif non?

Pour augmenter la rejouabilité et la diversité du jeu, il a été déterminé dès le départ qu’une grande partie du jeu sera généré aléatoirement et dynamiquement avant le début de chaque partie. Il en est de même pour les opinions et points de vue de chaque personne dans la cafétéria. Les dialogues ne sont d’ailleurs pas construits en “arbre”, mais par “thèmes”, pour se rapprocher davantage de l’expérience de mobilisation.